Partie de cache cache en amoureux,...

J'étais dans le salon de la vaste villa de notre famille les Cullen. Je lisais le premier des Harry Potter, un livre qui commençait a avoir du succés aux États-Unis, et dans le reste du monde. Il y avait même maintenant des écharpes, des maisons du livre, et quatre des sept livres de cette série était sortit au cinéma.
Je continuai à lire pendant une petite demi-heure à la même vitesse que celles des humains quand dérrière-moi, j'entendis un froissement aériens, et Emmett se penchai vers mon oreille et me dire : Une partie de cache-cache en amoureux ?. Je me retournai, et n'eut pas le loisir de lui répondre, il était déjà partit en courant, je n sais où. Alors s'est avec un grand sourire au lèvres, que je le suivis à la trace avec son odeur, le tour de la villa, trois fois de suite, puis il se dirigea droit vers la salle des fêtes de cette petit ville nommée Forks.
Mais que voulait-il faire dans la salle des fêtes ? J'entrai doucement dans la salle, puis, je m'avençait légèrement prudente, la porte se referma avec un léger clic. Je continuai d'avençai, quand tout d'un coup ses mains se mirent sur mes yeux, et me colla un bisous dans le cou.
- Partie de cache cache en amoureux ? lui dis-je. Tu ne te cache pas vraiment si tu te mets dans mon dos, sursurrai-je.

Une fois que je lui avais dit ces quelques mots, il rigola, et des frissons parcourra l'ensemble de mon corps. Il me répondit que j'avais raison, et que ce n'est pas exactement une partie de cache cache qu'il voulait. Est-ce que cette ville verraient encore un autre de nos nombreux mariages ? Ou pas ? Il m'avait sursurrai ces doux mots à l'oreille, puis il me prit la main et me fit tourner sur moi-même et me serra doucement contre lui. Sous le tissu, de son haut, je sentais ses muscles, et un grand sourire se dessina sur mes lèvres. Mon sourire s'épanoui d'avantage sur mon visage quand je pensais que cet homme là était mien pour la vie et même plus pour l'éternité.
Pendant plusieurs années, voire plusieurs décennie, j'avais regrettais mon existance de vampire, mais aujourd'hui, je ne regrettai pas, grace à Emmett. En y réfléchissant bien, Si j'avais la chance de redevenir humaine, je ne le ferai pas, ou à moin qu'Emmett et ma famille puissent en faire autant. A croire, que je devenais moins égoïste, et que je pensais moins à ma petite personne. Il faut croire. Je relevai la tête et lui demandai :

- Si ce n'est pas une partie de cache-cache que tu voulais, qu'est-ce ? lui demandai-je, bien que j'en avais une petite idée, mais je ne lui dis pas, préférant jouer un petit peu, nous sommes dans la salle des fêtes, puis me mettant sur la pointe des pieds pour lui parler à l'oreille, si tu voulais danser, tu aurais du me prévenir que je me mette une robe convenable, puis arretant d'être sur la pointe des pieds, j'ai l'air d'un chiffon comme sa.

En effet, je n'étais vetu que d'un simple t-shirt blanc manches longue, et d'un pantalon noir, patte d'éléphant, avec des chassures qu'Alice avait acheté il n'y a pas lontemps. Tous en y pensant je ne m'étais pas rendue compte que j'éxaminai, ce fut Emmett qui me sortis de ma rêverie en rigolant.

Il s'exclaffa en me serrant plus fort contre lui. Il me réppondit que j'étais la plus belle créture du monde et que même un torchon ne pouvait amoindrir à ma beauté. Ma tête contre son torse je me laissai aller, et je souris aux parole qu'il venait de prononcer. Il me lacha quelque instant et fit un aller-retour vite fait bien fait vers la chaine, et mit ma musique préféré. il me prit dans ces bras musclé comme si j'avais été une bulle de savon auxquels il aurait accordée une extréme prudence et de douceur, puis me demanda si j'étais daccord pour lui accordai cette dance. Et comment que j'étais daccord pour lui accordai cette dance. Il avait choisi, ma musique préférée. Je mis ma main droite dans sa paume qu'il me tendait, et lui fis le plus beau sourire dont j'étais capable et lui répondis : avec joie M. Cullen.
Nous dansions aux rythme de la musique. Ce que j'aimais avec cette chanson, c'est qu'elle n'en avait pas l'air au début avec son air tendre de slow, mais au bout d'une minute cette paisible dance se transformer en valse, une valse trés rapide. Aprés donc nous être déplacés sur le son du slow, nous valsions, à un rythme d'humains certes, voire même un peu plus rapidement. Je voyais à la vitesse ou nous nous déplaçions. Nous allions de plus en plus vite. Je ne pus m'empechai de retenir mon rire, qui d'ailleurs résonna comme le carillon des clochettes. Et à la fin de la chanson, je me hissai sur la pointe des pieds, déposai un léger mais tendre baisai sur son cou et murmurai : merci, pour ce moment mon amour.

Aprés lui avoir sursurrai ces mot à l'oreille, il m'attira de nouveau contre lui et et me demanda si je croyais que c'était terminée. A peine avait-il dit ces mots qu'un tango sortait des enceintes de la chaine. Nous dansions ensemble et nous aurions pu danser jusqu'à la fin de l'éternité sans jamais nous épuisés, lui comme moi n'avions pas besoin d'aller au toilettes, nous n'avions pas besoin non plus de dormir, la seul chose qui aurait pu nous dérangeait serait notre soif, mais lui comme moi avions chassés il y a peine deux jours, alors ...
Je sentais sa joie quand nous dansions ce tango torride. Puis, avant même que la musique soit entièrement terminée, il m'attira une nouvelle fois contre son torse musclé et il me regarda avec tant de tendresse et d'amour que si mon coeur aurait encore battit, il aurait battit à une vitesse folle, à moin qu'il n'aurait fait une crise cardiaque. Puis :

- Rosalie, j'aurais une question à te poser ? me demanda-t-il
- Emmett, tu sais trés bien que tu n'as pas besoin de me demander, sursurrai-je à mon tendre, je lui fis les yeux doux, qu'est ce que tu veux me demander ?

Je repensais au début, au moment ou je lisais mon livre il m'avait chuchoté à l'oreille une petit partie de cache-cache en amoureux, et visiblement, nous en étions loin de notre partie de cache-cache, je me demandai la question qu'il voulait me poser.

J'attendais sa réponse, repensant à la façon dont je l'avais attirée en ses lieux. Je souris à moi meme. Puis revenant à la réalité je la sérra plus étroittement dans mes bras, son contact me faisais fremir de plaisir. Comment allais-je donc lui poser cette question qui me torturais l'esprit? Je me creusais la tete depuis deja longtemps quand je trouva enfin la solution, je souris. Lui susurant tendrement à l'oreille

" Rose, ma chérie, tu aime les robes blanches?"

J'admirais son visage, géttant sa réaction avec appréhention, comment allait-elle prendre ma question, un flut impréssionnant de questions me vint a l'esprit des que mes mots eurent franchit mes levres.

Il me serra contre lui encore plus étroitement et je sentis son frémissement de plaisir à mon contact. Je sentis qu'il réfléchissait au meilleur moyen de me poser sa question, puis enfin, il sourit, il me sursurra ces quelque mot à l'oreille comme une caresse et me demanda si j'aimais les robes blanches. Je lui offris mon plus beau sourire, un sourire que je n'avais encore jamais offert à personne d'autre que lui. Alors, au bout du compte mes pensée serait-elle révéler exactes ? S'il me demandait si j'aimais les robes blanches s'est certainement parce qu'il me demandait en mariage.

- Oui, j'aime les robes blanches, et toi aimes-tu les costumes ? retournai-je la question, et les bagues ?

Je me souviens des premières fois ou il m'avait poser la même question, la première fois, il me l'avait demandée directement suivi d'un moment ... pas trés catholique dirons-nous, la seconde fois aussi ainsi que la troisième. A vrai dire les 10 premières fois il me l'avait demandée directement, puis il y a 10 ans, c'était moi qui lui avait demandée ( ou plus exactement, je lui avait sauté dessus ), il y a cinq ans nous habitions les Appalaches à l'époque, un frisson me parcourru au souvenir de cet endroit et de la forêt l'a ou je l'avais découvert, quand un grizzli avait failli le tuer, bref, il y a cinq ans la aussi s'était moi qui lui avait demandée, le faisant dans un hôtel cinq étoiles, dans le restaurant qu'avait celui-ci. Je me souviens aussi que cette chambre n'y avait pas survécu, je souris me remémorant ce moment. En espérant que cette joli salle des fêtes ne finissent pas en lambeaux comme la chambre d'hôtel.

- Oui, je le veux, avoir une robe blanche, je l'embrassai avec passion, et j'enfoui ma tête contre son torse trés musclés

Quand il m'embrassa, je sentis sa joie quand à ma réponse de sa question, il me regarda et son regard aurait pu me faire évanouir si j'aurais pu, mais étant donnée mon statue de vampire, je me contentai alors de lui offrir le plus beau de mes sourire, Il s'écarta légèrement de moi, pris l'écrin de sa poche, puis il posa un genou à tereouvris l'écrin :

- Rosalie Cullen, me feriez-vous l'honneur de devenir ma femme, aujourd'hui et pour toujours, jusqu'à l'un de nous meurt ?

Sa voix était douce, chaleureuse et calme, il me dévora du regard, que là encore, si j'avais été humaine mon coeur aurait battit à une vitesse bien au-dessus de la normal, si vite qu'il aurait explosée, je ne fus que trop heureuse que cet être si merveilleux, magnifique puissent être le mien pour toujours, et même plus.
La bague était fine et en or, ornée d'une douce pierre de saphir. Cette pierre, me renvoya les reflets de la lune, donnant à mon amour des reflets argents. Je ne me rendis pas compte que la nuit était déjà tombée, et encore moins que la lune soit aussi haute dans le ciel, qui pour une fois était sans nuage, comme ma vie en cette instant. Il n'y avait que lui et moi, le monde aurait pu éclater, que je ne m'en serais pas rendue compte, la troisième guerre aurait aussi pu éclaté sans que nous le sachions pour autant.

- Oui, oui, je veux devenir ta femme, pour aujourd'hui, demain et pour l'éternité, car si tu venais à mourir le premier, je te suivrai le plus vite dans la tombe. Alors, oui, je te veux pour plus que le toujours, et plus que l'éternité...

Une fois que j'eus terminée de lui répondre il me prit dans ces bras, il me fit tournoyai dans les airs tout en m'embrassant fougueusement et à travers ce baisers je sentis la joie, la passion qu'il exprimait. Il passa la bague autour de mon doigt de la main gauche et me sursurra ces mot avec une tel passion que mon coeur fonda comme neige au soleil :

- Alors que veux-tu faire pour célébrer notre union prochaine ? Je suis prêt a tout pour toi, mon amour, tout en me parlant il me carressa ma joue.
- Je sais, joueuse, je lui sautai dessus, et mon élan nous fîmes basculer, tout les deux a terre, je lui embrassai le cou, la joue le menton, le nez, pour finir à l'embrasser langoureusement sur la bouche, célébrer notre union comme on l'as toujours fait, aprés chaque demande, mais attention, lui mettant un doigt sur la bouche, pour l'arrêter quelque instant, essayons de ne pas trop abïmer cette fois-ci la salle, il serait dommage que cette ville ne puisse plus utiliser la salle des fêtes à cause de nous.

J'enlevais mes doigt de sa bouche et l'embrassa comme certainement personne ne l'avait fait. Si la salle n'eut aucune égratignure, je ne pouvais aps en dire autant de nos vêtement. Le trajet de la salle des fêtes jusque chez nous était court, les humains n'y verrait rien, par contre notre famille... . Nos corps s'entremoulaient avec une grâce féline, et romantique, la situation nous offrait comme à notre habitude une sorte de dilemme.
Contrairement aux humains, nous n'avions pas besoin d'aller nous soulager ni même de dormir, et lui comme moi ne se fatigueront pas, en ce moment, si merveilleux il me fut égal de ne pas savoir quand nous allions nous arrêter.

Nous aurions pu continuer pendant plusieur jours comme sa, mais Emmett plus lucide avec beaucoup plus d'intelligence que moi, me rappela à l'ordre quand la lune perdit de sa hauteur et que le ciel commençait à s'éclaircir et que le soleil commençait à pointait le bout de son nez, il carressa mes cheveux blond ondulés, et me parla d'une voix tendre en me disant qu'il fallait rentrer à la villa avant que les humains ne se réveille et que nous passerons par la fenêtre à cause du reste des membres de notre famille. Il m'embrassa tendrement et regarda autour de lui, il trouva sa chemise intacte, avec quand même un peu de rouge à lèvre sur le col, et me la lança. Je la mis, bien trop grande pour moi, m'arrivant quasiment à mi-cuisse, sentant encore la chaleur de l'homme qui la portait quelque heures avant. Je pris sa main dans la mienne, et nous courions le plus vite possible pour que les humains ne nous voient pas. J'aurais aimés que son pantalon survit à cette ... expériance. Aucune femme n'aurait le droit de le toucher, je serais prête à mordre si une fille oser l'approcher, il était mien et un sourire étira mes lèvres. En approchant de la villa, pour qu'Edward n'entendent pas mes pensées, je traduis l'hymmes national en français, en portuguais, et en russe. Je sautai, et fus heureuse que la villa soit complètement vide, je me dépêchais de rendre la chemise à mon tendre et de me prendre des vêtements adéquates pour annoncer notre bonne nouvelle à la famille. Une idée me traversa l'esprit en me démandant qui serait ma demoiselle d'honneur, Ésmé avait était toujours ma demoiselle d'honneur jusqu'à ce qu'Alice arrive dans notre famille et qu'elle organise notre mariage alors je l'avais choisi comme tels. Mais maintenant, j'avais un nouveau ... une nouvelle ... soeur. Devais-je choisir Bella pour être ma demoiselle d'honneur ? Oui c'était une bonne idée, cela ferait plaisir à toute la famille et surtout à Edward, et puis en même temps cela nous rapprocherais peut-être un peu qui sait ...

Lorsque je m'habillais, je sentis le regard qu'avait mon tendre sur moi, j'éssayais de ne pas y penser pour ne pas lui sauter à nouveau dessus. Une fois que lui et moi avions terminée de nous habiller correctement, il me prit de noueau dans ses bras, et je sus à l'expression de son visage qu'il aurait aimé lire dans mes pensées. Il ne me sursurra ces quatre mots : à moi pour l'éternité. Je lui offris mon plus beau sourire et lui caressai la joue, et étant donné qu'il voulait savoir ce que je pensais - plus les secondes s'écoulaient et plus j'en étais sure - je lui racontais :

- Quand nous nous sommes approchés de la villa et quand nous nous sommes habillés j'ai traduis l'hymmes national en français, en portugais, et en russe, puis je me suis demandais quelle demoiselle d'honneur j'allais prendre. Ésmé a toujours été ma demoiselle d'honneur, avec l'arrivée d'Alice, qui a organisé nos mariage, mais je pense que cette année, je respirai un grand coup, ce serait sympa que ce soit Bella. Edward serait content et cela nous rapprocherai avec Bella.
- Qu'est ce que tu en penses ?

Je lui demandais son avis, car il me connaissait tellement bien. Il me connaissait bien mieux qu'à l'époque ou j'avais fréquentais Royce. Seul Emmett, pouvait me donner son avis sur cette action.

Il me répondit qu'il trouvait que c'étais une bonne idée de prendre Bella comme demoiselle d'honneur et que cette dernière serait surement ravie, mais je voyais bien qu'il pensait à autre chose avec son sourire béat sur le visage, mais visiblement il s'était éfforcé de ne pas me sauter dessus une fois de plus, mais résolution se fendit en deux et il m'embrassa fougueusement et avec passion, une fois séparés à regret, il me contempla en me disant que j'étais la créature féminine que le monde est pu porter, et que j'ai une nouvelle fois accpetés d'être sa femme l'emplissait de joie, et qu'il était complètement déconnectée de la réalité. Son regard était complètement perdu dans le mien et ses yeux ne disait autre chose que je t'aime, un bonheur qui m'emplissait de joie moi-même. Je me remis à l'embrassai, et du en appelé à tout mes neurones pour me décrochai de lui, j'avais encore envie ... de plus. Il fallait être sage, d'autant plus qu'avec notre élan pour nous embrasser, on avait reculer, jusqu'à ce que je me cogne contre les altères aux sol. Je ne me suis évidemment pas fait mal, mais maintenant les objets de musculation d'Emmett avait une forme différente du départ.
Continuant de nous embrassai, je fus distraite par l'arrivait de notre famille. Je me détachai de lui une grimace sur le visage, ne voulant pas que les membres de notre famille nou surprenne, je mis un doigt sur sa bouche, et je lui susurrai d'être sage, mais notre père avait été si discret que ni l'in ni l'autre n'avaient entendu notre père arrivés dans notre chambre. Il voulait peut-être savoir ou nous étions passés cette nuit.

Bon, a mon avis, Carlisle avait compris exactement ou nous avions passé notre nuit, et certainement aussi ce que nous avions fait de notre nuit. Pas besoin de lui dire, et on avait encore moins besoins de lui prevenir de notre intention. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il savait. Il savait, ou nous avions passés notre nuit, ce que nous avions fait, et ce que nous appretions à faire, une fois de plus. Il était notre père, et nous connaisais mieux que quiconque, aprés tout, cétait lui qui nous avaient transformés tout les deux, lui qui par ses pensées nous avaient fait découvrir un autre mode de vie, en nous passant de sang humains pour ne pas devenir des monstre. Pendant deux ans j'avais haï ma nouvelle vie de vampire, jusqu'à ce que je trouve Emmett, qui me redonna la joie de vivre. Je n'haïssai plus ma vie autant qu'avant. Au début je voyais ma vie en gris sombres ou quasiment en noir, maintenant mon avenir, je le voyais d'un rose clair ou d'un blanc éclatant ou j'y étincellais grace à l'amour de ma vie.